May
21
Le populisme ça finit toujours mal. Je n'ai envie de jeter la pierre à personne dans le camp de la gauche radicale, mais substituer le clivage haut/bas, élite/peuple à la lutte des classes, ça peut vite amener à se tirer une balle dans le pied. Voilà pourquoi je vais voter Ian Brossat. Le PCF qui a un siècle d'histoire derrière lui est bien payé pour savoir que si la nation a un sens, et elle en a un, ce n'est seulement que lorsqu'elle s'articule à l'internationalisme.