Le répit de Michel Mohrt.
A défaut d'être certain que cela intéresse qui que ce soit dans un avenir plus ou moins proche où même les défenseurs de la Kulture Phrançouaise ont une fâcheuse tendance à s'exprimer sur les plateaux télés de manière mimétique, et avec le même goût du sang, que les "barbares" qu'ils prétendent combattre, on a été heureux que La Thébaïde d'Emmanuel Bluteau, un garçon assez aimable pour avoir réédité notre Orange de Malte, avec justement une lettre inédite de Michel Mohrt en postface, nous ait demandé de préfacer Le Répit, le premier roman de Mohrt qui n'avait pas été réédité depuis 1945, date de sa parution.