Mais pas souvent.
(Et me revient ce souvenir annexe: la faveur de Jane Austen auprès des filles de mes vingt ans, à Rouen, circa 84-85. Je revois les couvertures sobres des éditions Christian Bourgois et C ou S plongées dans les épais romans de Jane. Je ne sais pas si ce fut un micro-climat intellectuel local ou s'il y eut réellement chez les jeunes filles cultivées de cette époque une mode Jane Austen comme il y eut d'ailleurs, ce fait me semble plus avéré, une mode Kawabata édité alors dans la collection "biblio" du livre de Poche qui venait d'être créée.