tag:blogger.com,1999:blog-7310156134283777261.post1627014649152129954..comments2024-01-28T10:55:55.134+01:00Comments on Feu sur le quartier général!: Sabotons, sabotons, il en restera toujours quelque chose...Jérôme Leroyhttp://www.blogger.com/profile/12658941614607286284noreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-7310156134283777261.post-78800297522958851132015-10-12T10:56:13.522+02:002015-10-12T10:56:13.522+02:00Bon j'étais un peu en colère quand j'ai éc...Bon j'étais un peu en colère quand j'ai écrit mon précédent commentaire, en colère de lire que des suppressions de postes n'avaient rien à voir avec des licenciements. Car à supposer même que ces suppressions se feraient toutes à la suite de départs à la retraite (cas le plus extrême), cela voudrait-il dire que ce n'est pas grave ? La disparition de 3000 postes à Air France, ce n'est pas grave ? (!)<br />3000 jeunes gens et jeunes filles LICENCIES AVANT D’ÊTRE EMBAUCHES, puisque ces postes ne vont plus exister. Car on parle bien de postes budgétaires n'est-ce pas ?Michèle Pambrun-Paillardhttps://www.blogger.com/profile/09257517486237999556noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7310156134283777261.post-89420467107018754282015-10-10T09:24:04.583+02:002015-10-10T09:24:04.583+02:00Que de mépris et d'aigreur! Gilles Martin- Cha...Que de mépris et d'aigreur! Gilles Martin- Chauffier devrait se limiter à critiquer les livres des écrivains mondains qu'il côtoie dans les pince-fesses parisiens où il traîne.<br /> "...les vieillards qui, l'âge venu, veulent encore battre des ailes", GMC lui, n'a jamais eu d'ailes, quant à sa retraite il la passe (confortablement) à ressasser ses vielles haines d'écrivain raté. <br />Quand on connaît si peu les gens sur lesquels on se permet d'écrire on devrait tout simplement s'abstenir. elisenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7310156134283777261.post-69681254098133758392015-10-10T00:16:08.163+02:002015-10-10T00:16:08.163+02:00C'est vrai ça, le système physique de 2900 sup...C'est vrai ça, le système physique de 2900 suppressions de postes, en interaction avec l'environnement extérieur, par exemple sous forme de friction, perturbe l'état de superposition quantique initial (il y a 2900 solutions en même temps que les 2900 suppressions) et le fait peu à peu évoluer vers un état classique : un Big bang de milliers de vies tellement microscopique qu'il trouve sa solution dans la grande unification...Michèle Pambrun-Paillardhttps://www.blogger.com/profile/09257517486237999556noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7310156134283777261.post-44565328303096569972015-10-09T13:25:14.659+02:002015-10-09T13:25:14.659+02:00La suppression de 2900 postes n'a rien à voir ...La suppression de 2900 postes n'a rien à voir avec 2900 licenciements et les syndicats le savent parfaitement bien. C'est sur la base de ce genre d'approximations qu'on dit et fait n'importe quoi.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7310156134283777261.post-2889710169021366552015-10-09T13:20:19.969+02:002015-10-09T13:20:19.969+02:00Dès qu’on se lance dans un projet écologique, des ...Dès qu’on se lance dans un projet écologique, des Verts se mobilisent contre lui. Il y a toujours une grenouille à préserver, un panorama à défendre, une vasière à inscrire au patrimoine mondial… Et aux jeunes dingos qui se prennent pour Robin des bois s’ajoutent les vieillards qui, l’âge venu, veulent encore battre des ailes pour agiter leur retraite.<br />C’est le cas d’Erri De Luca, un romancier napolitain qui, après mille combats communistes dans sa jeunesse, s’est trouvé à 65 ans une dernière cause à défendre : la préservation du val de Suse que va traverser le TGV Lyon-Turin. Après avoir rêvé de révolution comme la chaisière rêve d’épouser l’évêque, il se raccroche à cette petite lutte comme à l’ultime bouée de son engagement. A l’entendre, dès qu’on creuse un trou, de la poussière d’amiante s’envole. Sous les Alpes seraient tapis des gisements d’uranium affolants. Pour un peu, si les ouvriers tombent sur un lac, ce sera de la nitroglycérine. A croire qu’on perce la vallée de la Géhenne. Moyennant quoi, Erri De Luca a appelé les opposants à des actions de sabotage sur le chantier. Et là, stupeur : l’Etat italien, ce paquebot qui marche à la rame, s’est secoué et a porté plainte contre lui. Pourquoi ? Parce qu’autour de la langue il y a les dents. Luca parle mais ses lecteurs agissent.<br />D’abord flatté, l’écrivain a pris cette inculpation pour un prix littéraire de plus. Ensuite, il a observé qu’avant ses interventions il y avait déjà des actes de rébellion. Mais à présent il peste. Pensant sans doute qu’il y a pour les plumes des zones de frais dans les marmites bouillantes, il s’indigne qu’on lui demande des comptes. Et s’étonne que le passe-partout Gallimard n’ouvre pas toutes les portes de cellule. Du coup, l’ours se fait peluche et se déclare irresponsable des actes qui auraient pu suivre ses paroles. C’est bien dommage. Dans ce monde de fauves, il n’y a pas de raison que les écrivains jouent les herbivores. La littérature, ce n’est pas l’eau qui ne mouille pas. Qu’Erri se dévoue donc pour passer quelques semaines à l’ombre. Et que l’éclat de cet obscurantisme rejaillisse sur tous ses collègues. <br />« La parole contraire », d’Erri De Luca, éd. Gallimard, 48 pages, 8 euros.<br />Gilles Martin-ChauffierAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7310156134283777261.post-14193367598171649912015-10-07T08:44:09.763+02:002015-10-07T08:44:09.763+02:00"On n'emprisonne pas Voltaire" (C. d..."On n'emprisonne pas Voltaire" (C. de Gaulle à propos de Sartre et de son opposition à la guerre d'Algérie). Pas très glorieux les temps qui courent!elisenoreply@blogger.com